Fassou THEA : Une voix pour la jeunesse, une force pour la cohésion par l’universitaire (A.O.B)
Un parcours forgé par le mérite et la compétence
Né le 1ᵉʳ janvier 1976 à N’Zérékoré, Fassou THEA, Ministre de la Pêche et de l’Économie Maritime, incarne l’image d’un intellectuel enraciné et ouvert sur le monde. Après des études en langue anglaise à l’Université Julius Nyéréré de Kankan, il se perfectionne à l’étranger, notamment au Burkina Faso, à l’Université Aube Nouvelle, puis aux États-Unis, où il obtient un Master Track en développement durable à l’Université du Michigan.
Chercheur invité à l’Université de l’Arizona, il s’est distingué par ses travaux sur la réduction des impacts environnementaux liés aux grands projets hydroélectriques de Kaléta et Souapiti. Ce bagage académique et professionnel solide lui confère une rare autorité technique dans les domaines de l’environnement, du développement durable, de la gouvernance écologique et maritime, etc.
L’homme de la paix, de la cohésion et de l’unité
Dans une région longtemps marquée par les fractures identitaires, Fassou THEA s’impose comme un véritable artisan de la paix et un bâtisseur de ponts entre les communautés. Son engagement dépasse largement les frontières de sa localité d’origine : de Beyla à Lola, de Yomou à N’Zérékoré, il œuvre sans relâche pour l’unité, la cohésion et la fraternité entre les peuples de la Forêt.
Sous son impulsion, plusieurs initiatives locales de réconciliation ont vu le jour, notamment le tout dernier rapprochement historique entre le Patriarche et le notable de Beyla, symbole fort d’une harmonie retrouvée dans une région souvent secouée par les divisions. À cela s’ajoutent de nombreuses actions de médiation et de sensibilisation menées depuis les années 2008, à chaque fois que la paix et la stabilité sociale étaient menacées.
Toujours présent lorsque le dialogue s’impose, Fassou THEA se distingue par son sens du devoir et sa constance dans la recherche de solutions pacifiques. Pour lui, la paix n’est pas une option, mais une vocation. Son credo résume toute sa vision :
« Tant que les fils et filles de la Forêt marcheront ensemble, la Guinée marchera debout. »
Un Ministre du peuple, enraciné dans les réalités
Fassou THEA reste avant tout un ministre du peuple, profondément attaché à ses origines et aux communautés de cette zone au sud de la Guinée. Son style de leadership se distingue par la proximité, l’écoute et la simplicité.
Dans les villages de Nona, de Goucké, de Pela, de N’Zao et dans les préfectures de Beyla, de Lola, de Yomou ou de N’Zérékoré, il est perçu non pas comme un ministre distant, mais comme « le ministre du bas peuple », celui qui marche avec les citoyens, qui s’assoit parmi les anciens, qui parle le langage du cœur et agit sans ostentation.
Cette humilité naturelle fait de lui un repère moral et politique, un modèle d’intégrité et de sincérité dans la région de N’Zérékoré.
Une grandeur d’esprit au service du collectif
Au-delà des clivages et des appartenances politiques, Fassou THEA incarne cette rare trempe de leaders dont la grandeur d’esprit transcende les ambitions personnelles. Son engagement s’ancre dans une vision collective : bâtir une Guinée juste, inclusive et harmonieuse, où chaque citoyen peut contribuer pleinement à l’édification nationale.
Ses prises de parole, toujours marquées par la mesure, la sagesse et la profondeur de pensée, traduisent un sens aigu du devoir et du service public. En lui se conjuguent la rigueur de l’homme d’État et la chaleur du militant de terrain, faisant de Fassou THEA une figure d’équilibre, de rassemblement et de lucidité dans un contexte politique souvent polarisé.
Un engagement sans faille
L’engagement politique de Fassou THEA repose sur une loyauté indéfectible envers le Président de la République, le Général d’Armée Mamadi Doumbouya, dont il partage pleinement la vision : refonder la Guinée sur les valeurs de cohésion, de compétence et de souveraineté nationale.
Durant la campagne référendaire, il s’est distingué par une présence active sur le terrain, des discours rassembleurs et un sens aigu de la responsabilité citoyenne. Son approche inclusive, marquée par le respect et l’écoute, a permis de mobiliser l’ensemble des communautés au-delà des appartenances ethniques, religieuses ou politiques de la région, pour un vote massif (98,2 % en faveur du OUI).
Partout où il est intervenu, Fassou THEA a su rappeler que le vote référendaire dépassait le cadre d’une simple échéance politique : c’était avant tout un acte de foi en la nation, un engagement collectif pour une Guinée unie, forte et tournée vers son avenir.
Une trajectoire fondée sur la constance et le sens du devoir
À rebours des parcours politiques souvent marqués par l’opportunisme et la rupture, le ministre Fassou THEA incarne la constance dans la fidélité et la responsabilité. Son itinéraire, empreint d’humilité et de service, illustre la noblesse d’un engagement au service du bien commun. Homme de terrain, proche des réalités sociales, il a toujours su placer la jeunesse et les femmes au cœur de son action, convaincu que le développement durable de la Guinée se bâtit avec elles et par elles.
Son attachement profond aux valeurs traditionnelles — la sagesse, le dialogue et la cohésion — fait de lui un trait d’union entre le passé et l’avenir, un repère moral dans un monde politique en quête de repères. Dans sa conception du pouvoir, la fonction n’est pas un privilège, mais une mission, et l’autorité n’est pas domination, mais service.
Fidèle à la vision du Président de la République, le Général d’Armée Mamadi Doumbouya, Fassou THEA l’accompagne avec loyauté, discernement et constance. Il manifeste également une haute estime pour le leadership du Premier ministre Amadou Oury BAH, qu’il considère comme un symbole d’équilibre, de compétence et d’efficacité gouvernementale.
Par sa modestie exemplaire, sa proximité avec le peuple et sa foi inébranlable dans la refondation nationale, Fassou THEA incarne une grandeur d’un autre ordre : celle qui élève sans écraser, qui rassemble sans exclure, et qui rappelle avec force que le pouvoir ne trouve sa véritable légitimité que dans le service du peuple et la fidélité à la nation.

Une reconnaissance méritée
Son érection au rang de Moronaba de la Forêt par les citoyens de la localité de N’Zao constitue bien plus qu’un simple honneur ; c’est la consécration d’une reconnaissance communautaire authentique, saluant à la fois le travail accompli et l’engagement constant du ministre Fassou THEA en faveur de l’unité des filles et fils de la Forêt.
La remise de la canne traditionnelle de commandement, du Bobou symbolique et des insignes du Simandou illustre avec éloquence la place qu’il occupe dans le cœur des communautés forestières. À travers ce geste hautement symbolique, les sages, notables et religieux de N’Zao ont voulu exprimer leur gratitude envers un homme dont la parole, l’action et la loyauté demeurent au service de la paix, de la cohésion et du développement partagé.
À la veille d’une échéance électorale de portée nationale, Fassou THEA s’impose comme un modèle de rassembleur. Son engagement politique responsable, sa fidélité au Président Mamadi Doumbouya et son attachement indéfectible à la Guinée forestière font de lui un acteur clé du renouveau national.
De Kissidougou, en passant par Guéckédou, Macenta, Beyla, Yomou, Lola, Nona et N’Zérékoré, son nom rime désormais avec proximité, loyauté et unité.
Par l’Universitaire Alpha Oumar BALDÉ (A.O.B.)